Ornicar parle de l’insouciance d’un enfant en école primaire. A cet âge-là, il se sent fort, puissant et n’en fait qu’à sa tête. Il se fiche des règles qu’il doit respecter, en particulier des règles de grammaires.
Mais cet enfant finit par grandir. Il apprend de ses erreurs et commence à se construire.
Cette histoire est universelle. Jeune, on se sent invulnérable puis avec l’âge, on découvre nos faiblesses. On apprend à vivre avec et « Homme nous devenons »…
Réponses