J’ai peut être perdu la bataille
vu les entailles qu’elle m’a donné
Je dois me recoudre, résoudre le moment où j’ai déconné
Car j’ai mordu dans ton cœur
Dès que tu me l’as offert
T’avais que ça à faire
T’as vu dans quel enfer
Toi tu m’as traîné, traînée
Je voudrais me souvenir des instants les plus beaux
Ceux qui dessinent l’amour des fous
Ceux qui destinent à prendre des coups
Ce qui ont fait de toi mon tout
Ce qui à fait de toi mon trop
Qui m’ont fait croire qu’on était beau
Mais qui m’ont fait tomber de plus haut
Tu as tissé des fils autour de mon cou comme un collier,
Et j’ai laissé ces filles qui valaient le coup d’être choyer
Et tu m’as dressé, pour oublier que j’étais blessé
Rien de tout ça ne pouvait cesser, car je gardais la tête baissé
Simplement servant de tes desseins, s’imaginant chaque jour mordre tes seins
Et dans ses grands yeux noirs
Je ne vois qu’un reflet blanc
Comme une lueur d’espoir
Qui me fait perdre mon temps
On ne repeint pas le noir
On le contemple seulement
J’y ai perdu mon regard
Bien beaucoup trop souvent
Rappelle toi combien d’homme fidèle, tu as trompé pour moi
Au final tu donnes ma belle, que trop peu pour moi
Ton ex tu l’as trompé pour moi
Ton mec tu le trompe pour moi
J’suis pas de la même trempe que toi
Si je te vexe, c’est par mes texte, pas mes envie de sexe
Je te verrais repartir vers celui qui ne se doute pas
à qui tu devras mentir sans doute l’as tu fait pour moi
je n’arrête pas de me dire que l’autre fût moi
Car on a toujours fait l’amour à trois, toi, moi et ton ego
T’as pas de flamme en toi, mais tu t’allume pour un mec beau
Tu t’accomplis quand tu danse en boite
t’as compris que tout le monde veut te déboîter
fantasme, mais fantôme, quand il s’agit d’être la pour moi
Je me fend l’âme, méfiant de l’homme, a qui tu fera l’amour froid
Et t’as peur des rumeurs
tu pleure et tu pleure
pour pas te sentir en tort
C’est de ta faute pas de la leur, tout le monde peut être voleur de ton corps
couvert de remords, est vêtit ton personnage,
Quand t’as découvert tes points forts, t’avais la moitié de ton âge,
Et tu offres encore et encore, tes belles hanches ton beau visage,
je t’avais vu chanter sur les planches, où tu exprimais toute ta rage
Elles étaient toutes jalouse de toi, comment tu n’as pas put dire non,
quand elle te traitaient de tout les noms,pourquoi tu leur a donné raison
As tu voulu à ce point être le centre du monde, quitte à emprunter les chemins qui t’ont rendus aussi immonde
Et dans ses grands yeux noirs
Je ne vois qu’un reflet blanc
Comme une lueur d’espoir
Qui me fait perdre mon temps
On ne repeint pas le noir
On le contemple seulement
J’y ai perdu mon regard
Bien beaucoup trop souvent
Je finis par te donner mon amour, mais tu le dévores juste devant moi
Je t’ai pardonné mon amour, juste pour ton corps nu devant moi
Car Je peux pas te détester, je t’ai aimé tellement fort
des tas d’autres filles j’en ai testé, je n’avais d’yeux que pour ton corps,
Encore est-il que j’ai pensé que t’allais revenir
Tu t’en es dispensé, et j’ai vécu le pire
Puisque tu mens comme tu respire, je serais franc pour te contredire
Oui je t’aime, raison de plus pour te détruire
Alors j’ai crevé ses yeux noirs
Avec ma plume d’un blanc ivoire
Et quand elle n’as plus moyen d’y voir
quand se brisent tout ses miroirs
Quand son trône casse, et elle choit
Qu’il ne reste ce dernier choix, cette masse de soldats,
charmés, armés pour son combat
Tous rêvent de devenir roi, douce trêve entre ses bras
Sauf que la reine tu te la tape pas, c’est dans l’arène que tu te tapera
t’attends pas à ce qu’elle pense à toi
tâtonnes tes plaies et panses toi
Non mais regarde derrière toi dans quel état tu laisses ces hommes
Tout ça ne t’atteins pas tu n’as jamais aimé personne
L’amour est pour toi une simple formule de politesse
Tu dis « je t’aime » pour retenir tous ceux que t’as tenu en laisse
Tu rêverais d’être amoureuse, Mais ceux qui aiment ne le font pas pour eux
Donne cet amour qui ne résonne que pour ton miroir
Tu as cessé d’y croire, et dans tes yeux noirs
est noyée la jeune fille qui m’avait donnée tant espoir
Et dans ses grands yeux noirs
Je ne vois qu’un reflet blanc
Comme une lueur d’espoir
Qui me fait perdre mon temps
On ne repeint pas le noir
On le contemple seulement
J’y ai perdu mon regard
Bien beaucoup trop souvent
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