CAVALIERS du groupe HÔP
Le groupe HÔP
HÔP est le prolongement d’un groupe Chambérien formé à la fin des années 90 sous le nom de FOLYZEN ayant fait une cinquantaine de concerts et festivals dont celui de L’Arbresle (69) avec pour tête d’affiche le groupe PIGALLE à l’époque.
Les membres fondateurs encore présents sont au nombre de trois (voir présentation succincte). Les influences sont clairement ancrées dans le rock des années 70/80 avec des touches de pop de jazz et de funk. Notre groupe de référence est PINK FLOYD dont nous vous invitons à écouter les trois adaptations que nous avons fait de ANOTHER BRICK IN THE WALL, WELCOME TO THE MACHINE et WISH YOU WERE HERE sur notre chaine YOUTUBE.
Nos compositions sont majoritairement en français avec quelques morceaux en anglais et quelques instrumentaux. Les thèmes abordés portent sur le monde qui nous entoure, la liberté, l’environnement entre autre.
Cavaliers
Une chanson dédiée à l’âme aventurière des marins, le tout voguant dans un écrin poétique …
Texte : Daniel FRIGIOLINI
Musique : Hervé DAUTEL
Hervé DAUTEL : guitares , chant , basse , claviers , choeurs , programmation et arrangements
Patrick RIOWAL : Montage vidéo
Jean-Luc PAJEAN : saxophone alto
VIDEO
Paroles de Cavaliers de HÔP
Leur visage est de pierre, aux chaleurs d’alizés
Leurs capes en longues voiles déchirent l’azur
Ils vont noyer leurs peines aux pays colorés
Quand les ports en leurs yeux ne sont plus que des murs
Accrochés au grand mât de leurs voiliers sans nom
Ils regardent leurs rêves, aux lames des tempêtes,
Mourir sans douleur et sombrer en des fonds
Pour les illuminer de leurs pensées secrêtes
Ils courent aux champs de mer, sur des chevaux d’écume
Et partent sur les flots, conquérir au néant,
Des régiments d’oiseaux et des pays de brume
Ils déchirent les vagues, dans les échos du vent
Aux refrains envoûtants des chansons des sirènes,
Ils brûlent leurs ivresses en fièvres infinies,
Dormant aux bras de mer Comme au bras d’une reine,
Ils s’évanouissent au lit d’un ouragan qui fuit.
Et lorsque sur la terre, ils vont sans autre mot,
Que des récits sans fin des océans de feu
Leurs yeux vont jeter l’ancre aux clameurs des tripots
Jusqu’au dernier départ, du fond de l’aube bleue
Ils courent aux champs de mer, sur des chevaux d’écume
Et partent sur les flots, conquérir au néant,
Des régiments d’oiseaux et des pays de brume
Ils déchirent les vagues, dans les échos du vent
Daniel FRIGIOLINI